
Communication 45
Réserve de marche: 40 h, 21600 alt/h
ANDERSEN GENEVE COMMUNICATION 45
UN MONDE EN OR : ANDERSEN GENÈVE PRESENTE LA COMMUNICATION 45
Une montre à heure universelle en or jaune sera produite en trois séries de 15 pièces pour marquer les 45 ans de la création de la marque en 1980 ; et les 35 ans de sa première montre à heure universelle.
ANDERSEN Genève présente la Communication 45, une nouvelle montre à heure universelle fabriquée à la main et limitée à 45 pièces - une pour chaque année de l'existence de la marque - qui tire son nom de la série originale de montres à heure universelle du fondateur Svend Andersen datant de 1990, la Communication. Cette montre, très recherchée aujourd'hui, a contribué à rétablir cette complication légendaire parmi les collectionneurs de haute horlogerie, et a cimenté ANDERSEN Genève comme l'un des noms les plus influents et les plus sérieux de l'horlogerie indépendante.
La nouvelle Communication 45 devient la dixième série de montres universelles d'ANDERSEN Genève depuis 1990. Raffinée, harmonieuse dans ses moindres détails, elle incarne les valeurs clés de l'art d'ANDERSEN Genève : une conception et une fabrication méticuleuses, l'utilisation de matériaux précieux et l’aide d’artisans exceptionnels.
TROIS CARTES DU MONDE, UNE VISION GLOBALE
La Communication 45 sera fabriquée en trois séries limitées de 15 pièces, chacune avec un cadran représentant l'une des trois régions : Europe, Asie ou Amériques. Comme pour les précédentes montres aux heures du monde d'ANDERSEN Genève, la disposition suit le format classique d'une bague rotative 24 heures, entourée d'un disque des villes représentant les 24 fuseaux horaires du monde entier. L'heure locale est lue au centre à l'aide d'aiguilles squelettes en or jaune en forme d'épée.
Au cœur de la montre se trouve un spectaculaire décor de carte aux couleurs dorées. Le cadran central, en « BlueGold » 21ct, est délicatement guilloché avec le motif historique de tapisserie en forme de vague d'ANDERSEN Genève. Sa riche teinte cognac est obtenue par cuisson au four dans l'Atelier d'ANDERSEN Genève, selon un procédé exclusif de la marque.
Dans cette mer, les zones terrestres sont incrustées d'or jaune, grâce à différentes techniques de gravure, de remplissage en plusieurs étapes ; techniques qui ont été spécialement développées pour cette montre.
DESIGN POUR LE CITOYEN DU MONDE
Chaque élément de la Communication 45 a été développé dans un souci de clarté, d'équilibre et de raffinement. Le boîtier, fabriqué à la main dans l'Atelier d'ANDERSEN Genève à La Chaux-de-Fonds, fait 38 mm. Les cornes en forme de goutte d'eau, incurvées et délicatement bombées, reprennent celles de la série Communication de 1990.
La couronne de réglage des villes à 9 heures est gravée avec le logo spécial « Communication 45 » (un globe avec le chiffre 45), tandis que la couronne de remontage et de réglage à 3 heures est gravée d'un logo « A » poli ; emblème d'ANDERSEN Genève. A l'intérieur, la montre utilise un calibre automatique vintage entièrement retravaillé et finement décoré à la main par l'équipe d'ANDERSEN Genève ; il est associé au module worldtime ultra plat de la marque.
L'ATELIER DES VOYAGEURS DU TEMPS : 35 ANS D’HEURES DU MONDE CHEZ ANDERSEN GENÈVE
Le worldtimer, qui affiche 24 fuseaux horaires simultanément, est l’une des collection ADN des montres ANDERSEN Genève depuis 35 ans. Le fondateur Svend Andersen, aujourd'hui âgé de 83 ans, a découvert le système des heures universelles (développé dans les années 1930 par Louis Cottier et adopté par Patek Philippe, entre autre) alors qu'il restaurait des montres à Lucerne dans les années 1960, puis au cours de sa décennie passée dans l'Atelier des Grandes Complications de Patek Philippe dans les années 1970.
Enchanté par cette complication, il a développé à la fin des années 1980 son propre module d'heure universelle ultra-plat - d'une épaisseur de 0,9 mm seulement - à la demande de collectionneurs italiens. Ce module est devenu la base de sa première montre à heure universelle, la Communication 24, lancée en 1990 sur la base d'une souscription. Vingt-quatre montres devaient être fabriquées, avec des cadrans comportant la carte du monde en bleu et en or, et des boîtiers en or - avec des cornes plates, réalisés par Jean-Pierre Hagmann, le génial artisan boîtiers (aujourd'hui décédé). Deux semaines après l'annonce de l'offre de souscription dans un magazine allemand, 18 collectionneurs avaient versé un acompte pour obtenir l'une des montres ; six autres allaient bientôt suivre.
Il fut suivi, également en 1990, par le premier garde-temps d'ANDERSEN Genève produit en série, connu simplement sous le nom de Communication - presque identique au modèle souscription, avec un boîtier une fois de plus fabriqué par JP Hagmann - mais cette fois avec des cornes en forme de goutte d'eau. Avec ses proportions classiques, sa lunette tournante avec les noms des villes et ses cornes élégantes, elle s'inspire clairement des premières montres aux heures du monde de Patek Philippe fabriquées par Cottier, dont la production avait cessé depuis longtemps. (Il faudra attendre une autre décennie avant que Patek Philippe ne revienne avec des montres aux heures du monde).
Depuis lors, ANDERSEN Genève a continué à affiner et à réinterpréter la complication de ses montres aux heures du monde, en développant une succession de séries limitées. Citons notamment la Christophorus Columbus (1992), la Mundus ultra-plate (1994), la 1884 (2004), la Tempus Terrae (2015), la « Heures du Monde » en collaboration avec Asprey (2022) et la série Celestial Voyager avec des cadrans en émail en collaboration avec BCHH (de 2021 à 2024).
Aujourd'hui, ANDERSEN Genève reste l'un des rares manufactures indépendantes avec une telle expérience, autant dans le design, la décoration que le développement technique des montres aux heures du monde.
La Communication 45 reprend de nombreux éléments qui ont façonné cet héritage : une boîte élégante, des composants fabriqués avec une précision extrême et une décoration des composants ultra poussée. Ceci dans une édition très limitée : 45 pièces seulement
L'ARTISANAT & ANDERSEN GENÈVE : LA TRADITION ET L’INNOVATION
Chaque boîtier est entièrement réalisé à la main à La Chaux-de-Fonds avec l’aide de Marco Poluzzi (âgé de 83 ans),ce, sans aucune machine à commande numérique, mais avec beaucoup d’expérience.
La Communication 45 est dotée d'un boîtier de 38 mm en or jaune 3N, en trois parties.
L'un de ses éléments les plus distinctifs est la forme des cornes ; elles combinent le style « goutte d'eau » utilisé par Jean-Pierre Hagmann pour la Communication de 1990 avec une silhouette plus sculpturale et galbée, mais vue de profil, elles prennent une forme de cornes de vache. De nombreux prototypes ont été nécessaires pour affiner ces cornes.
ANDERSEN Genève a pu s'appuyer sur la grande expertise de Marco Poluzzi qui fabrique des boîtiers de montres à la main depuis plus de 50 ans. Tout au long de sa carrière, il a travaillé avec de nombreux grands noms de l'horlogerie suisse. En 2022, son Atelier à La Chaux-de-Fonds - une mine d’or avec multitude de machines et d'outils anciens ¬ - a été racheté par ANDERSEN Genève. Cet Atelier est devenu ainsi le deuxième site de production de la marque en plus de son Atelier genevois historique. Tout comme Svend l'a fait avec les horlogers d'ANDERSEN Genève à Genève, Marco forme maintenant une nouvelle génération d’horlogers/boîtiers à La Chaux-de-Fonds afin perpétuer ce métier traditionnel complexe et délicat.
LES MÉTIERS D'ART DANS LES CADRANS ANDERSEN GENÈVE : DES CADRANS D'EXCEPTION
OR BLEU 21ct COULEUR “COGNAC” – L’ARTISANAT A L’ETAT PUR
La création de cadrans sophistiqués a toujours été un élément clé des montres ANDERSEN Genève au cours de plus de quatre décennies. L'une de ses techniques les plus reconnaissables est l'utilisation de l’or bleu 21ct - de l'or combiné à des éléments de fer et traité thermiquement, développant une fine couche d'oxydation colorée sur la surface avec un éclat resplendissant et permanent. Alors que les modèles précédents utilisaient des tons bleu-violet, la Communication 45 introduit une riche teinte cognac, obtenue grâce à un contrôle précis de la température du four, du temps et de l'atmosphère, qui a fait l'objet d'une expérimentation considérable par les horlogers d'ANDERSEN Genève.
La méthode de bleuissage a été présentée à Svend Andersen par un bijoutier suisse dans les années 1990 ; il avait mis au point son propre procédé pour obtenir de l'or bleu.
Il s'agit d'une technique qui, dans le domaine de l'horlogerie, reste unique à ANDERSEN Genève. Chaque composant étant fabriqué individuellement et soumis à une myriade de paramètres, de composition chimique et de facteurs atmosphériques - tous régis en fin de compte par l'intuition de l'horloger - chaque pièce en or bleu devient unique et dotée d'un caractère qui lui est propre.
DES « VAGUES DE GENEVE » DIFFERENTES
La texture ondulée du cadran en or bleu, autre marque de fabrique d'ANDERSEN Genève, est obtenue par un procédé traditionnel de « guilloché-tapisserie » utilisant un motif vieux de plus d'un siècle.
Le motif est appliqué avant le processus de bleuissage, à l'aide d'une machine à guillocher « tapisserie » qui va reproduire le motif se trouvant sur un gabarit, sous une forme miniaturisée, sur le cadran en or 21ct. Le gabarit, créé à l'origine pour la décoration des montres de poche durant la période la Belle Époque, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, a été découvert par Svend Andersen il y a plus de 30 ans dans l'Atelier du maître guillocheur, M. Mayor. Il est depuis lors, une caractéristique récurrente des montres ANDERSEN Genève. La « tapisserie » est exécutée à l'aide d'une authentique machine du XIXe siècle, préservant la profondeur et la texture du motif original.
DES CONTINENTS EN OR 24CT
Le motif de la carte est réalisé grâce à un nouveau procédé développé spécifiquement pour cette montre. Tout d'abord, la couche superficielle des continents est enlevée avec une grande précision jusqu'à une profondeur de 0,2 mm. Cette partie évidée est ensuite remplie d'une laque d'or liquide non allié - selon un procédé très sophistiqué. Une fois durci et poli, le résultat est une incrustation lisse et uniforme d'or pur, légèrement en retrait dans la « mer » qui l'entoure.
Cette œuvre est le fruit d'une multitude d’expérimentations et de recherche de plusieurs mois, en collaboration avec trois sous-traitants exceptionnels en Suisse.
UN MONDE DE DÉTAILS
La bague des villes de la Communication 45 est satinée circulaire, puis recouverte d'une laque couleur crème. Une nouvelle police a été développée pour les noms des villes afin d'assurer une parfaite lisibilité. La bague 24 heures présente une alternance de secteurs jour et nuit de couleur crème et brun foncé.
Les aiguilles en or jaune sont ajourées et brossées ; le bracelet est en crocodile brun avec boucle ardillon en or jaune. Les deux verres saphir sont pourvus d’un traitement antireflet double face.
Chaque boîtier est gravé individuellement à la main avec son numéro et équipé de deux couronnes, une de chaque côté, à la manière du design original de l'heure universelle de Louis Cottier : une couronne pour la sélection de la ville (à 9 heures) et une pour le remontage et la mise à l'heure (à 3 heures). La couronne de réglage des villes est gravée du logo « C45 Anniversaire » (le chiffre 45 entouré d'un globe) et la couronne de réglage de l'heure porte le logo « A avec tête de vis » ; emblème de la marque.
Chaque montre porte le numéro « X/15 » de l'édition régionale, gravé à la main sur la lunette du fond.
MOUVEMENT DE L'AGE D'OR
Le mouvement de la Communication 45 est un calibre automatique vintage spécialement sélectionné par ANDERSEN Genève pour sa finesse et sa stabilité. De tels calibres ont été utilisés dans plusieurs modèles de montres universelles de la marque, notamment la Celestial Voyager, les Heures du Monde réalisées en collaboration avec Asprey et les éditions précédentes de Tempus Terrae. Il est associé à la dernière version du module d'heure universelle développé en interne par ANDERSEN Genève. Ce module basé sur celui conçu à l'origine par Svend dans les années 1980 et continuellement optimisé pour obtenir plus de précision, plus d’efficacité et une aisance d'utilisation.
Chaque mouvement est entièrement décoré à l’extrême. Les ponts et les platines sont « grainés » (frosted). Cette finition « frosted » donne un fort contraste avec les parties anglées main et les vis. Les vis sont polies miroir, ainsi que les dents des roues.
La masse oscillante, en or bleu « Cognac », a le même guillochage « tapisserie » que le cadran. Sur le pont de balancier se trouve une petite plaquette où est gravé le logo « A » de la marque, avec en son centre une tête de vis en acier polie et bleuie - un détail discret réservé à ceux qui connaissent l'histoire de la marque.
Dates clefs dans l’histoire des montres aux heures du monde de ANDERSEN Genève’s
- 1942 – Svend Andersen est né à Padborg, au Danemark
- 1969–79 – Travaille chez Patek Philippe; restaure des montres aux heures du monde de Louis Cottier
- 1979 – L’Atelier ANDERSEN Genève est créé pour faire des montres sur mesure
- 1990 – Lancement de la Communication 24, 24 montres vendues en souscription; suivi par la Communication ; la première montres ANDERSEN Genève fabriquée en série
- 1991 – Chronographe; suivi d’une edition demandée par les collectionneurs italiens, OM21 (oro mundi)
- 1992 – Christophorus Columbus – la montre aux heures du monde comportant le voyage de Christophe Colomb de 1492 sur le cadran
- 1994 – Mundus, qui détient toujours, en 2025, le record du monde de la montre aux heures du monde la plus fine jamais réalisée
- 2004 – 1884, célèbre les 120 ans des 24 fuseaux horaires autour du monde
- 2015 – Tempus Terrae, la cinquième édition de montres aux heures du monde
- 2022 – Heures du Monde (en collaboration avec Asprey)
- 2022–2024 – Celestial Voyager avec cadrans en émail cloisonnée (en collaboration avec BCHH)
- 2025 – Lancement de la Communication 45
ANDERSEN Genève a également créé plusieurs séries spéciales et pièces uniques avec la complication des heures universelles. Ces montres, en plus des heures universelles, étaient aussi munies de complications supplémentaires telles que, des répétitions minutes, des chronographes, des calendriers perpétuels, des affichages rétrogrades et des fonctions alarme ; entre autre.
LE CITOYEN DU MONDE DE L'HORLOGERIE
Question/réponse avec Svend Andersen sur les montres aux heures du monde
Quelle a été votre première expérience de la complication Worldtime ?
J'ai quitté le Danemark pour la Suisse en 1963 et, comme je parlais bien l'anglais, j'ai trouvé un emploi chez Gübelin [le détaillant suisse de montres haut de gamme] à Lucerne. C'est là que j'ai eu la chance de réparer certaines montres worldtime originales, avec le mécanisme de Louis Cottier. Ce fut ma première véritable rencontre avec la complication, et elle est restée gravée dans ma mémoire.
Dans les années 1970, vous faisiez partie de l'équipe des trois personnes de l'Atelier des Grandes Complications de Patek Philippe, aux côtés de Roger Dubuis et de Max Berney. Y avez-vous rencontré de nombreux chronomètres heures du monde ?
Absolument. Louis Cottier est mort en 1966 et Patek Philippe a cessé de fabriquer les montres aux heures du monde. Un jour, quelqu'un est venu me voir avec un plateau de composants provenant d’anciennes montres Cottier des années 1950. Il m'a demandé : « Pouvons-nous fabriquer quelques montres avec ces composants ? » Je ai regardé attentivement et j'ai dit : « Je pense que nous pouvons sauver trois mouvements à partir de ces composants ». Les pièces ont été envoyées à un autre Atelier qui a fabriqué trois boîtiers en or, et c'est tout. Cela m'a appris quelque chose d'important : à quel point cette complication était spéciale, belle et rare."
Vous vous êtes lancé en solo en 1979 et avez passé les années 1980 à fabriquer d'abord des boîtiers de montres de poche, puis des montres uniques sur mesure. Qu'est-ce qui vous a finalement amené à revenir à l'heure universelle ?
Certains collectionneurs italiens me demandaient quelque chose de plus intéressant que les heures, les minutes et les secondes. Je me suis souvenu de ces vieilles montres Cottier et je me suis dit : pourquoi pas une Worldtime ? J'ai donc commencé à développer ma propre version. J'ai conçu un module entièrement nouveau, beaucoup plus fin que ce qui existait à l'époque. Le mien ne faisait que 0,9 millimètre, tout compris. Il n'y en avait pas beaucoup d'autres, et ceux qui existaient utilisaient des modules plus épais, comme celui de Lemania, ce qui rendait l'ensemble de la montre trop encombrant. Pour moi, la finesse et l'élégance sont très important, surtout pour une montre aux heures du monde.
La Communication a débuté sous la forme d'une édition de souscription de 24 montres. Quelle a été la réaction des collectionneurs et comment l'avez-vous fait connaître ?
Lorsque j'ai développé le prototype, en 1989, je l'ai présenté à un journaliste allemand. Il a publié un article et, en l'espace de deux semaines, nous avons eu 18 souscriptions - sur une édition prévue de 24 pièces. Les six autres ont suivi peu après. Le modèle de souscription signifiait que les gens payaient 50 % à la commande, ce qui m'a permis d'acheter l'or pour les boîtiers et de commencer la production. Nous avons fabriqué 25 boîtiers - j'ai gardé le 25ème, qui n'avait pas de cornes du tout. C'est encore aujourd'hui la montre de ma femme.
À partir de là, vous avez fabriqué la Communication de série, ainsi qu'une poignée de versions spéciales avec des cadrans différents. Pourquoi pensez-vous qu'il y a eu un tel marché pour cette montre ?
Bien sûr, ce succès m’a comblé. J'ai été très heureux de voir tant de personnes, des collectionneurs vraiment engagés qui aimaient les montres, voulaient cette Communication. À l'époque, Patek Philippe ne fabriquait plus de montres aux heures du monde, ce qui, d'une certaine manière, créait un vide sur le marché. Ebel et quelques autres marques en fabriquaient, mais sans grand raffinement. Je revenais à ce que Cottier avait inventé.
Les différents cadrans ont été fabriqués en fonction des différentes demandes de mes partenaires et détaillants. Par exemple, un cadran crème avec une carte en or a été demandé par Yoshi Isogai de la boutique Shellman à Tokyo. Il en a vendu des dizaines aux collectionneurs Japonais. Une version avec un cadran noir a été demandée par M. Fagnola de la boutique Fagnola à Turin, pour l'un de ses clients italiens de longue date.
A PROPOS D'ANDERSEN GENÈVE
Fondée en 1980 par le maître horloger Svend Andersen, ANDERSEN Genève est devenue l'un des Ateliers les plus exclusifs de l'horlogerie suisse. Membre fondateur de l'AHCI et l'une des rares marques à se spécialiser dans la haute horlogerie sur mesure, elle est connue pour ses montres à hautes complications, ses montres aux heures universelles, et son savoir-faire lié aux artisans.
Depuis 2015, le nouveau propriétaire Pierre-Alexandre Aeschlimann dirige la société avec Svend Andersen (83 ans), Marco Poluzzi (83 ans) et une équipe d’horlogers passionnés.
Opérant depuis son Atelier d'origine surplombant le Rhône à Genève, et depuis 2022 avec un second Atelier à La Chaux-de-Fonds, ANDERSEN Genève ne crée pas plus de 50 montres par an, chacune d'entre elles étant une œuvre d'art rare et exclusive. En 45 années d’existence, moins de 1400 montres ont été livrées à des collectionneurs du monde entier.