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Bovet 1822

Braveheart®

Matière
Or rouge
Bracelet
Cuir
Boucle
Boucle ardillon
Etanchéité
30 m
Taille
ø 45.2 mm
Epaisseur
16.2 (avec verres) 11.6 (sans verres) mm
Mouvement
Mécanique à remontage manuel
Réserve de marche: 528 h, 18000 alt/h
Fonctions
Heures, Minutes, Secondes, Indicateur de réserve de marche, Minutes rétrogrades, Tourbillon
Référence
AI22001
Lancement
2015
Collection
Amadeo® Fleurier Grandes Complications / Série limitée à 30 exemplaires
Prix HT
480’000 CHF
Description

 
Vidéo
 
BraveHeart®
 
Amadeo® Fleurier  Mechanical Prowess and Artistic Density
 
Au commencement, il y a le rêve de Pascal Raffy, cette impulsion créative qui conduit sans cesse à imaginer de nouveaux garde-temps. C’est lui-même qui définit les nouvelles collections dans leurs fonctionnalités comme dans leur esthétique. Parallèlement, une cartographie des calibres et complications réalisés par la Manufacture DIMIER 1738, acquise par Pascal Raffy en 2006, et l’extraordinaire patrimoine historique de la Maison BOVET définissent l’avenir de la Maison familiale et de ses collections. Dès lors, un cahier des charges clair peut être défini tout en laissant un espace privilégié aux innovations et idées survenant lors des différentes étapes du développement. Selon le cahier des charges établi par Pascal Raffy, le calibre souhaité pour la nouvelle icône qu’est le Tourbillon Braveheart® se devait de redéfinir les limites de la chronométrie tout en offrant un confort d’usage optimal. Cette orientation impliquait doublement une grande réserve de marche pour dispenser une force des plus constantes à l’organe régulateur d’une part et pour offrir des conditions d’utilisations inégalées.
 
En plus d’intégrer tous les bénéfices d’une expérience de 193 ans, Braveheart® a été imaginé autour d’une des caractéristiques majeures des garde-temps contemporains de la Maison: le système de boitier convertible Amadeo®. Cet ingénieux système qui équipe la totalité des collections Fleurier depuis 2010 offre deux visages au garde-temps. Deux expressions du temps différentes et harmonieuses à la fois et de nombreux défis techniques à relever pour faire cohabiter deux affichages de l’heure dans un encombrement élégant et maitrisé. En 2014, BOVET levait le voile sur son premier calibre à spécialité horlogère non régulé par un tourbillon. Une première dans l’histoire de la Manufacture. Le brevet N°0169-DI-CH de ladite spécialité porte sur son double mécanisme d’affichage coaxial de la seconde. Il allait de soi que l’affichage breveté double de la seconde de manière coaxiale devait être appliqué sur ce nouveau calibre malgré le défi que son application à l’axe d’un tourbillon représentait. Cette volonté d’afficher la seconde des deux côtés de la cage de tourbillon constitue une première mondiale qui a naturellement guidé les techniciens de la Manufacture à la réalisation du premier tourbillon volant de l’ère de la Manufacture DIMIER. Le tourbillon inédit qui régule la marche de Braveheart® focalise l’attention dès le premier regard et concentre les innovations les plus marquantes de ce garde-temps. Sa conception, son architecture et la qualité de ses finitions suscitent autant d’interrogations que d’émerveillement. Pour parvenir à un tel aboutissement, toutes les règles établies, toutes les conventions qui président habituellement au développement d’un nouveau calibre ont été mises en doutes. C’est pour être partis d’une feuille blanche et l’esprit libre de toute contrainte théorique que Pascal Raffy et les techniciens et horlogers du bureau technique de la Manufacture sont parvenus à un tel aboutissement esthétique, technique et chronométrique. On sait effectivement que selon l’approche traditionnelle du développement, l’esthétique et la chronométrie occupent des positions antagonistes forçant le compromis. Les améliorations de l’un se faisant souvent au détriment de l’autre.
 
Les innovations que dispensent la Maison BOVET ne portent donc pas exclusivement sur la technicité et les fonctions des garde-temps mais également sur les processus qui y conduisent. C’est par cette méthode globale que l’esthétique et l’innovation technologique du tourbillon Braveheart® apportent conjointement une nouvelle définition de l’excellence horlogère.
 
La légèreté et la transparence sont depuis toujours des critères primordiaux pour BOVET 1822 lorsqu’il s’agit de développer et de manufacturer un mouvement régulé par un tourbillon. Les cages de tourbillon manufacturées par BOVET font d’ailleurs toutes l’objet d’un brevet spécifique puisqu’aucun mobile du rouage de finissage ne passe au-dessus de la cage comme c’est habituellement le cas. Adoptée par BOVET depuis 2010, l’utilisation de platines et de ponts « trois-quarts » accentue d’avantage encore les notions de transparence et de légèreté.
 
Pour Braveheart®, Pascal Raffy a demandé au bureau technique de la Manufacture DIMIER 1738 de repousser encore les limites imposées par ce type d’organe réglant tout en améliorant la chronométrie de l’ensemble. Les techniciens et horlogers en charge de ce développement ont alors retenu la solution d’un tourbillon volant. Un tourbillon traditionnel évolue entre deux ponts qui maintiennent les pivots situés aux extrémités de son axe alors qu’un tourbillon volant pivote sur un roulement à billes fixé à l’extrémité inférieure de son axe, généralement dans la platine. Cette dernière solution n’aurait pas permis d’atteindre une transparence égale aux tourbillons « pivotés » que manufacture déjà BOVET, de plus, le poids de la cage d’un tourbillon crée un grande contrainte au roulement à billes par le bras de levier que constitue la hauteur de l’axe de la cage. Les techniciens de la Manufacture DIMIER ont alors eu l’idée inédite de tenir l’ensemble de la cage au milieu de son axe. En plus de diviser par deux le bras de levier dû à la hauteur totale de l’axe, cette solution a permis de répartir le poids de la cage de part et d’autre de son point de fixation. Pour y parvenir l’échappement a été placé sur la partie inférieure de l’axe alors que le balancier et le spiral occupent la partie supérieure de l’axe. Ce mécanisme breveté permet d’obtenir une chronométrie inégalable pour un tourbillon volant et donne, plus que jamais, l’impression que le tourbillon lévite dans le volume que libèrent les platines trois-quarts.
 
Les améliorations chronométriques obtenues par l’architecture innovante de la cage du tourbillon sont complétées par celles provenant d’un couple balancier-spiral résolument nouveau. Afin d’offrir les qualités de réglage optimales, on sait qu’un balancier se doit d’être le plus léger possible en son centre et que la masse déterminant son inertie se doit d’être placée à son extrême périphérie. C’est une serge de balancier révolutionnaire et brevetée qui a été adoptée pour apporter une réponse innovante et performante à cette question délicate. Le bureau technique a d’abord écarté l’usage d’un balancier annulaire au profit d’une serge de balancier composée de trois bras portant chacun une masse profilée permettant d’obtenir une inertie optimale.Ces masses ont un profil en forme d’ogive afin d’améliorer l’aérodynamisme du balancier.
 
La forme de ces ogives est directement inspirée de celles, caractéristiques qu’Edouard BOVET plaçait sur les balanciers des montres qu’il manufacturait au XIXème siècle. Au centre de chacune de ces masses se trouve une masselotte permettant d’ajuster l’équilibre et le réglage dynamique du balancier. Le poids des masses à l’extrémité de chacun des trois bras posait, à ce stade du développement, un problème de rigidité de la serge du balancier que les techniciens du bureau technique ont résolu en lui donnant un profil particulier permettant de la rigidifier sans nouveau compromis de poids.
 
Un tel balancier se devait d’être couplé à un spiral qui contribue à en sublimer les performances chronométriques. Lors des alternances du balancier, un spiral plat ne se développe pas concentriquement à son axe et crée donc des défauts d’équilibre ponctuels. Les courbes terminales de type « Breguet » ou «Philips» ne compensent quant à elles que partiellement ce problème. C’est pourquoi les techniciens et les horlogers du bureau technique de la Manufacture ont choisi de développer et de manufacturer un spiral cylindrique dont le développement est absolument concentrique à son centre de gravité. Cœur et gardien de la précision d’un garde-temps mécanique, le spiral est également le composant qui exige la connaissance et la maîtrise les plus strictes en chimie, en physique et en mécanique. Produisant ses propres spiraux depuis 2006, DIMIER est l’une des très rares manufactures à être capable de manufacturer ce composant. L’alliage des métaux utilisé pour la fabrication des spiraux est aussi complexe que les conditions imposées pas sa fabrication. Les différentes étapes de tréfilage et de laminage qui lui apporteront sa section rectangulaire, l’enroulage, la réalisation de la courbe terminale, le comptage sont autant d’opérations réalisées chez DIMIER aboutissant à des ressorts dont les propriétés sont garantes d’un isochronisme optimal. L’expérience acquise par les artisans de la Manufacture DIMIER en terme de spiraux leur a permis de développer un ressort aux performances inégalables. Si les résultats chronométriques obtenus par l’usage d’un spiral cylindrique sont remarquables, la manufacture de tels spiraux s’avère éminemment complexe. Une telle solution était déjà employée au XVIIIème siècle et fut très usitée dans la chronométrie de marine. Cependant, la connaissance des alliages, de la mécanique et de la chimie ne permettait pas alors d’atteindre des résultats comparables à ceux des garde-temps modernes. De nos jours, si leur niveau de performance n’est plus à démontrer, la manufacture de tels spiraux nécessite un tel savoir-faire que leur usage demeure totalement anecdotique. La verticalité de ce spiral cylindrique a quant à elle conduit le bureau technique à dessiner un pont de tourbillon à trois bras. Sa manufacture exige de nombreuses heures de travail et une technicité parfaitement maitrisée.
 
Fidèles aux préceptes de la Maison BOVET, cette cage de tourbillon et son balancier-spiral posent un nouveau jalon dans la quête à l’isochronisme absolu. L’ensemble de cette cage de tourbillon fait l’objet de trois brevets qui attestent de l’esprit innovant de Pascal Raffy tout en respectant les méthodes artisanales de manufacture qui font le succès de la Maison Bovet depuis 1822.
 
A l’instar de tous les garde-temps de la collection Grande Complications, les fonctions et les indications qu’affiche Braveheart® ont une vocation utile et sont adaptées à un usage contemporain. La convertibilité du boîtier Amadeo® constitue déjà une réelle complication en soit. Il atteste par son interaction directe avec les complications du mouvement, que les garde-temps que développe la Maison BOVET sont pensés en qualité d’entité plutôt que de résultant de l’assemblage d’un mouvement, d’un cadran et d’un boitier. Ainsi, en plus de se transformer en montre de table ou en montre de poche sans nécessiter l’usage du moindre outil, le boitier Amadeo® de Braveheart® lui permet également d’être porté en montre-bracelet réversible.
 
Inventé à l’ère de la montre de poche pour compenser les effets de la gravitation lorsque l’organe régulateur se trouve en position verticale, le tourbillon trouve ici une légitimité inégalée de nos jours. La réversibilité, se doit également d’avoir du sens. C’est pourquoi, à l’instar des autres garde-temps de la collection Grandes Complications, Braveheart® affiche heures, minutes et secondes sur les deux côtés de son mouvement et y répartit harmonieusement le reste des indications pour offrir deux visages distincts.
 
Le premier de ces deux visages ne semble porter qu’une seule aiguille alors que trois indications sont présentes. Légèrement excentrée sur la partie supérieure du mouvement, l’aiguille des heures est la seule à parcourir la surface du cadran principal. C’est un index triangulaire qui surligne les 160° du secteur des minutes et rétrograde ainsi chaque heure pour débuter un nouveau comptage. Un second secteur, de 120° cette fois, permet la lecture des secondes. Ici encore, pas d’aiguilles mais les pointes subtilement anglées et polies des trois bras du pont de cage de tourbillon qui se relaient toutes les vingt secondes pour cumuler ainsi une minute pour chacune des révolutions du tourbillon.
 
Lorsqu’on retourne le garde-temps, on découvre une seconde expression du temps. Heures et minutes s’affichent traditionnellement par deux aiguilles sur un cadran excentré à 12H. De ce point de vue-là, c’est encore la cage du tourbillon qui attire l’attention. De par sa construction innovante, le tourbillon offre ici un second visage absolument inédit. On découvre ainsi l’échappement, tel qu’on ne l’avait jamais vu auparavant; distinctement séparé du balancier spiral tout en y restant parfaitement connecté. Plus surprenant encore, les secondes s’affichent également de ce côté du mouvement, sur l’axe de la cage du tourbillon. Pour parvenir à cette prouesse, les techniciens et les horlogers de la Manufacture DIMIER ont appliqué le brevet de leur double affichage coaxial, apparu un an plus tôt sur leur calibre à spécialités horlogères Virtuoso II. Le principe de ce brevet consiste à afficher sur le même axe, une aiguille de secondes de chaque côté du mouvement, la rotation de l’une d’elle devant être inversée pour tourner dans le sens correct.
 
La Maison BOVET avait fait preuve d’innovation en imaginant et en manufacturant cette cage à seconde sur son calibre Virtuoso II. Il aura fallu faire preuve de beaucoup plus d’ingéniosité encore pour appliquer ce brevet à une cage de tourbillon volant tenue en son centre ! En plus de sa fonctionnalité et de l’absolue symétrie des positions de son indication des deux côtés du mouvement, cette seconde inversée apporte une touche de magie supplémentaire au spectacle fascinant des révolutions du tourbillon. L’effet visuel de l’ensemble évoque un kaleïdoscope. Le balancier-spiral et l’échappement tournant dans un sens, la roue et l’aiguille de seconde inversée évoluant sur le même axe en tournant dans le sens opposé.
 
Tout au centre, l’aiguille de réserve de marche survole le mouvement en balayant un large secteur. Pour d’avantage de légèreté, de lisibilité et d’élégance sa graduation est métallisée sous la glace. Le souci d’une chronométrie inégalable a conduit Pascal Raffy à placer une réserve de marche pharaonique et symbolique au cahier des charges de Braveheart®. La force délivrée à l’organe régulateur étant plus constante dans la durée. Véritable spécialiste des grandes réserves de marche, la totalité des mouvements que manufacturait BOVET jusqu’à l’arrivée de Braveheart® affichent des réserve de marche comprises entre cinq et sept jours. Enfin, BOVET détient à ce jour le record absolu de durée de réserve de marche pour une montre portée. Une montre de poche datant de l’aube du XXème siècle affiche en effet une autonomie de 370 jours. L’aiguille de Braveheart® annonce quant à elle pas moins de vingt-deux jours de réserve de marche ! Le secret de ce phénoménal gain d’énergie réside avant tout dans un calcul strict des bilans énergétique. Le but étant d’économiser au maximum la consommation énergétique du mouvement afin d’ajouter une dose limitée d’énergie supplémentaire qui fera monter le compteur d’autonomie. Les deux barillets qui stockent l’énergie embarquent chacun un ressort de 104cm de long et occupent à eux seuls la moitié de la surface du mouvement.
 
La résolution de l’énigme de la grande réserve de marche posa immédiatement un nouveau problème à l’équipe du bureau technique de la Manufacture: le remontage. Le nombre de tours de couronne nécessaire à l’armage d’un mouvement est logiquement proportionnel à la durée de sa réserve de marche et devenait déraisonnable pour vingt-deux jours d’autonomie. Ce n’est toutefois pas ce nouveau défi qui allait mettre à mal l’ingéniosité des techniciens du bureau technique. Ils ont donc imaginé un différentiel sphérique sur la tige de remontoir qui permet dans un encombrement très réduit de multiplier le rapport de d’engrenage par deux et de diviser d’autant le nombre de tours de couronne nécessaire à l’armage complet du mouvement. Ce différentiel sphérique fait l’objet du cinquième brevet spécifique à ce calibre d’exception. Il aura fallu encore compter avec tout le talent des artisans de la Manufacture pour parvenir à l’exploit de tailler les doubles dentures coniques des micro-pignons satellites de ce différentiel visible, selon les versions proposées, au travers de l’un des cadrans.
 
La technicité de Braveheart® impose de nouvelles références en termes d’ingéniosité et chronométrie. Cependant, la Haute Horlogerie selon la Maison BOVET 1822 ne consiste pas seulement à faire les meilleurs garde-temps, il faut aussi qu’ils soient les plus beaux. La tradition des arts décoratifs horlogers contribue à la renommée de la Maison depuis près de deux siècles. Pascal Raffy perpétue et pérennise le savoir-faire à nul autre pareil de ses artisans. Quant à Braveheart®, le nouveau garde-temps iconique des collections BOVET, il se fait la plus noble expression de cette nouvelle orchestration artistique. C’est au travail des décorateurs qu’il faut d’abord rendre hommage. Chacun des 722 composants du mouvement passe entre les mains expertes des artisans du prestigieux atelier. Toutes les techniques traditionnelles de décoration sont ici parfaitement maitrisées. La décoration des composants de Braveheart® nécessite souvent un temps trente fois supérieur à celui qui aura été nécessaire à manufacturer le même composant, fonctionnel. Anglage, cerclage tout est mis en œuvre pour magnifier les précieuses mécaniques de Braveheart®, jusqu’au berçage des bras en araignée du pont de tourbillon qui nécessite à lui seul deux jours de travail et pose un nouveau jalon dans l’excellence des arts décoratifs. Le minutieux ouvrage des graveurs à la main complète ce décor enchanteur. Chacun des ponts et des platines passent entre leurs mains qui complèteront ce chef d’œuvre par une gravure chaque fois unique. Les deux barillets se parent d’une phrase emblématique qui paraphait les certificats d’origine des garde-temps que manufacturait jadis BOVET: «Faictes de mains de Maitre pour servir ponctuels Gentilhommes, ce par quoy attestons longue valeur». Cette maxime débute sur l’un des barillets et se termine sur le second. Pour une lisibilité accrue et une nouvelle dimension esthétique, cette phrase a été réalisée en abaissement de matière. La notion d’entité du garde-temps prévaut toujours au sein de la Maison BOVET aussi, les arts décoratifs ne se limitent pas au mouvement et se conjuguent dans un ensemble harmonieux. Le cadran de l’aiguillage inversé peut ainsi, à la convenance du collectionneur, être réalisé dans une offre illimitée de matières nobles ou être orné d’une somptueuse peinture miniature.
 
Enfin les possibilités de sertissage offertes par Braveheart® repoussent l’entendement. L’ensemble des surfaces de la boîte peuvent être serties de diamants taille baguette de la meilleure qualité. Les deux côtés de la bélière, la totalité de la bande de carrure, l’attache du bracelet et les deux lunettes peuvent ainsi être parés. Mais Pascal Raffy est allé au-delà et a poussé les constructeurs de la Maison dans leurs derniers retranchements en lui demandant également la possibilité de sertir l’intérieur de la boite. Les deux réhauts et l’intérieur de la carrure, très visible autour de la cage du tourbillon, peuvent donc également être sertis de diamants baguette pour une élégance absolument inédite.
 
Comme à l’accoutumée le collectionneur pourra demander toutes les personnalisations qu’il souhaite. Qu’il s’agisse de la décoration du mouvement ou de l’habillage du garde-temps, le bureau technique et les artisans de la Manufacture uniront leurs efforts pour satisfaire chaque demande.
 
A l’instar de l’ensemble des collections Fleurier, le boitier de Braveheart® est équipé du système Amadeo® qui permet de convertir le garde-temps en montre bracelet réversible, en montre de table et en montre de poche sans nécessiter l’usage du moindre outil. Pour d’avantage d’élégance et de prestige le verrou qui libère la lunette mobile est actionné par un poussoir secret placé au cen